jeudi 28 avril 2011

1er mai à Arras pour les auteurs Riffle noir!

Ce dimanche 1er mai, Riffle noir y sera!

avec

Richard Albisser (Fou contre tour, Éclipse d'une nuit d'hiver): l'après-midi dès 13heures

Dirck Degraeve (Passé mortel, Marais noir, Farandoles & son nouveau roman: La fileuse d'ombre): le matin dès 10 heures

Michaël Moslonka (À minuit, les chiens cessent d'aboyer): toute la journée

dimanche 17 avril 2011

Anecdote d'un service de presse

Il y a déjà pas mal de temps, nous avions envoyé au Quotidien du médecin un exemplaire en service de presse de  Requiem pour un toubib. Quelques mois plus tard - le jour de la Saint-Valentin, plus précisément - c'est dans Le quotidien du pharmacien que l'on parle du second du second polar d'Éric Lefebvre. Les voies de la presse sont aussi impénétrables que celles du Seigneur...


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lundi 4 avril 2011

En avril et en mai, les auteurs Riffle noir signent comme il leur plaît

Dédicaces des auteurs Riffle noir pour les mois d'avril et de mai



Samedi 9 avril 2011
après-midi signatures au Majuscule de Saint-Omer 
pour
Dirck Degraeve
(Passé mortel, Marais noir, La fileuse d'ombre)


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Samedi 16 avril 2011
journée dédicaces au Cora de Bruay-la-Buissière
pour
Michaël Moslonka
(À minuit, les chiens cessent d'aboyer)


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Mardi 19 avril 2011
dès 17h45: Veillée littéraire à la librairie Résonances d'Avion

VEILLÉE ANNULÉE
 
pour
Michaël Moslonka
(À minuit, les chiens cessent d'aboyer


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Dimanche 1er mai 2011
Riffle noir sera au
10e Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale d'Arras



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Dimanche 8 mai 2011
Le Printemps des Artistes à Wavrin


 avec
le matin: Michaël Moslonka (À minuit, les chiens cessent d'aboyer)
l'après-midi: Richard Albisser (Fou contre tour, Éclipse d'une nuit d'hiver Présence de Richard Albisser annulée

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Vendredi 6 mai 2011
présentation de la collection Riffle noir
au Cultura d'Hénin-Beaumont

à partir de 14 heures



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Samedi 14 mai 2011
après-midi au Cultura d'Hénin-Beaumont
pour
Olivier Hennion (Faute de vérité)
Michaël Moslonka (À minuit, les chiens cessent d'aboyer)
Richard Albisser (Fou contre tour, Éclipse d'une nuit d'hiver)


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Samedi 28 mai 2011
Une journée rencontre(s)!

deux dédicaces pour un auteur

Michaël Moslonka
À minuit, les chiens cessent d'aboyer

au matin, dès 10 heures:
Maison de la Presse Denoyelle de Liévin

après-midi, dès 14 heures:
Furet du Nord de Douai

&

 Après-midi Polar
à
la bibliothèque municipale de Saint-Omer
avec Dirck Degraeve
Passé mortel, Marais noir (et La fileuse d'ombre: roman dans la collection Le Riffle)

vendredi 1 avril 2011

À minuit, retour d'un lecteur auteur

Sur clarac.over-blog.com, Sébastien CLARAC (auteur et éditeur de la revue STATION-FICTION) va droit à l'essentiel en parlant de sa lecture d' À minuit, les chiens cessent d'aboyer


(...) Un meurtre au pays des corons, à minuit, un flic tellement misanthrope qu’il n’a même plus la moindre estime pour lui-même. Et comble du pire ; il doit déjà côtoyer de jour les aspects les plus sombres de l’humanité, comme tout bon flic, voilà qu’en plus la nuit les chiens ont décidé de conspirer pour le torturer. Le monde lui en veut et Blake le lui rend bien ! Sans sa partenaire Amélie Laribi pour garder le cap dans ces méandres chaotiques l’homme et l’enquête seraient définitivement perdues… Maintenant n’est-il pas évident que plus on s’approche de la lumière et plus l’ombre que l’on projette est grande et profonde ?
Michaël nous décrit un Nord, qu’il connaît bien et moi pas du tout, d’une noirceur extrême. Polar oblige ou triste réalité ? Ce polar noir, et même très noir comme un café double trop serré en a le goût amer, comme cette parcelle de l’humanité en déroute qui est le triste quotidien de la police. Et ce n’est pas un ballon de rosé qui peut y mettre un peu de couleur. En attendant ce polar est parfaitement construit et Michaël parvient à conduire le lecteur sur une double intrigue ; policière bien sûr et humaine également et surtout. Et c’est bien cette dimension humaine qui donne à ce polar toute sa valeur. Un vrai plaisir de lecture et je dois me forcer à ne pas en dire plus pour ne pas gâcher le votre. (...)

Sébastien Clarac, le 26 mars 2011 

Le billet, dans son intégralité, est ICI